C’est un départ !

Après des années à écrire en « privé » sur le monde de la course, j’ai décidé de me lancer dans l’aventure !

Avant de commencer, je dois dire un gros merci à tous mes « lecteurs personnels » qui m’ont encouragé à continuer à écrire mes (parfois très longs) récits de courses avec leurs critiques constructives. Ça m’a permis de m’améliorer et de, je l’espère, les rendre plus intéressants.

Ceux qui me connaissent savent que ce qui m’importe avant tout, c’est ce que nous, coureurs, vivons durant la course, oui, mais aussi durant les heures qui précèdent et suivent une compétition. Sans compter, bien évidemment, les heures et les heures d’entrainement. Parce qu’au fond, les performances, ce n’est pas tellement important. Mais ce que nous vivons, ressentons en courant, c’est une autre paire de manches. Un sage a déjà dit: ce n’est pas la destination qui compte, c’est le voyage…

Étant un lecteur assidu du blogue cycliste « La flamme rouge » et avec l’accord enthousiaste de Laurent, son auteur, j’ai décidé de m’en inspirer et appeler ce blogue « ‘Le dernier kilomètre » (pour les non-initiés, la flamme rouge annonce le dernier kilomètre d’une course cycliste).

La raison ?  Toute simple: le dernier kilomètre de toute course, que ce soit un 10 km ou un marathon, est un résumé parfait de celle-ci. L’extase du premier marathon quand on se dit: « Ça y est, je l’ai ! », la satisfaction qu’on vit lorsqu’on sait qu’on a fait une bonne course et que le record personnel est à la clé. Le rush d’adrnaline qui nous pousse à sprinter pour aller chercher celui devant ou peut-être, finalement, descendre sous un plateau qu’on croyait tout simplement inaccessible.

C’est aussi dans le dernier kilomètre que les souffrances d’une course difficile resortent. Que l’arrivée, qui n’est pourtant pas si loin, semble ne jamais vouloir se montrer quand les crampes ont décidé d’envahir les cuisses et les mollets du coureur. Puis on pense à la famille, aux amis qui attendent à l’arrivée. Aux accolades, à la fierté dans leurs yeux… On pense aux amis qui ont déjà termniné et qui attendent, aux amis derrière. Comment vont-ils ?

Bref, qu’il dure trois ou dix minutes, qu’il soit facile ou extrêmement pénible, ce dernier kilomètre est toujours rempli d’émotions. Émotions que j’aimerais partager avec vous tous.

Bonne lecture et bonne course !  🙂

Fred   

 

Un avis sur « C’est un départ ! »

  1. WOW! Mon beau frère, en plus de m’impressionner à courir, là tu m’impressionne à écrire!
    Je suis très contente que tu ais décidé de partager les émotions intenses que tu vit lors du dernier kilomètre.
    Ton filleul sera en compétition dimanche avec les chevaux, et lors de ses runs, je lui parlerai du courage que son parrain a en cette même journée et de ne pas baisser les bras et se décourager pour lui faire honneur.
    Pis pour moi, peux m’importe ton temps, tu es LE CHAMPION marathonien de la famille!

    Lâche pas et BRAVO!

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