Pourtant, je le savais. Durant toute la première moitié de la course, je ne cessais de me répéter « Reste en dedans, reste en dedans… ». Rien à faire, je suis passé au demi autour de 1:32:30. Avant même les Newton Hills, la première crampe s’est manifestée. J’ai réussi à limiter les dégâts (je commence à être habitué !) pour terminer en 3:11:02. Troisième meilleur temps à vie, mon meilleur pour un marathon au printemps. Je suis donc tout de même assez satisfait.
Mais espèce de parcours de mes deux, il m’a encore joué un vilain tour…
On se reconnecte plus tard.